Langage public, workshop et interactions stratégiques
Indépendamment d’une forte suppléance soutenable, on doit chiffrer les directives mobilités. Perpendiculairement, on doit réussir les alternatives fournisseurs-délégataires du service public. Bien entendu, en réponse la revalorisation situationnelle, les experts devront solutionner les problématiques investissements. Et la tâche est immense. Cette réaction à une supply chain institutionnelle passera donc nécessairement par un coaching des sourcing partenariaux quels qu’ils soient. Chaque entité sera dès lors capable de délocaliser les issues corporate et leurs worshop et ainsi de repositionner son expertise métier.
Une fois évaluée une proposition de valeur communicationnelle, voici notre conviction : innover sur les territoires projets. Ainsi, corrélativement à la revalorisation stratégique, on doit transformer les interactions envisageables. Une synergie aux accents d’un développement et d’une vision durables d’un territoire du XXè siècle…
Des soucis de compréhension ? Peut-être même le sentiment qu’on vous balade ? Appels d’offres, briefs, recommandations d’agence, sont truffés de formules alambiquées cachant toujours un manque d’idées, d’analyse, de synthèse. Sociolectes, acronymes abscons émaillent le discours public pour transformer une citrouille en carrosse. Et de s’étonner du fossé qui se creuse avec le citoyen malgré la mise en place de démarches participatives !
Si la première partie de ce post a été rédigée avec l’aide de pipotronic.com, il n’en demeure pas moins l’absurde démonstration que le langage doit être adapté au locuteur pour être intéressant, pour faire vivre le débat. Bon, j’dis ça j’dis rien; mais j’assiste à tant de réunions publiques que parfois je me fâche…
Olivier Genevois
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